Je suis même certains que beaucoup pensent que ce n'était pas le plus important à faire sur cette voiture.
Ils ont certainement raison, mais pour le moment c'est ce que j'ose faire.
Quand je pense au moteur je démoralise, d'ailleurs si une personne veut m'apprendre la mécanique qu'il me contacte.
Pour revenir "au joie du ponçage", le premier kif c'est de voir l'ouvrage réaliser il y a plus de 60 ans. Voir la tôle à nue sans trop de rouille et de trou c'est beau.
Nous verrons pas la suite les autres éléments de la voiture, j'en vois certains sourire.
Mais pour en arriver là, il faut poncer et poncer encore.
Faire disparaitre petit à petit les différentes couches qui recouvrent la tôle.
Tout commence par le vernis ensuite les couches de peinture noir pour s'achever par la ou les couches de peinture anti-rouille et d'apprêt.
Bien sur tous ceci dans le bruit de la ponceuse, avec la poussière virevoltant dans les airs, retombant mollement sur le sol du garage pour devenir saleté.
Cette poussière qui s'incruste dans les moindres recoins, impossible de faire cela chez soi sous peine de pourrir toute sa maison ou son appart.
Cette saleté qui un jour ou l'autre finira certainement par boucher ma machine à laver le linge.
Toutes ces paillettes de peinture que l'on respire malgré le petit masque mis sur la bouche et le nez.
Un autre kif, une fois la journée terminée, la douche chaude pour se décrasser, les particules de peinture finissant au fond du bac de douche.
L'impression que cette douche était vraiment utile.
Philou
Sur la partie base la peinture intact, ensuite en remontant la peinture ayant perdu son vernis
et ensuite toujours en remontant les différentes strates de peinture.
Pour arriver sur une tôle étincelante (oui je sais j'exagère).
et dans la partie haute la même tôle après un passage de brosse métallique.
cet homme est fou c est une évidence.
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